lundi 30 septembre 2013

Attention à vos flirts, familiarités, amitiés au travail

Attention à vos flirts, familiarités, amitiés au travail !
Écrire à votre chef « Bonne journée bisou » peut l’autoriser à vous embrasser sur la bouche, selon la jurisprudence française.
« Bien à toi », formule affectueuse selon la Cour
Avez-vous déjà écrit « bises » à la fin d’un mail envoyé à votre supérieur ? Sachez que cela pourrait se retourner contre vous un jour. Selon le droit français, en cas de familiarités réciproques, il n’y a plus de harcèlement sexuel ! Autrement dit, votre employeur ne pourra pas être licencié si un jour celui-ci devait avoir une attitude déplacée envers vous.

C’est en tout cas ce qu’a jugé la Cour d’Appel d’Aix en Provence. La juridiction a estimé que le licenciement de M. X par la société Z sur la base de harcèlements sexuel et moral envers Mme Y était dépourvu de cause réelle et sérieuse. La société Z reprochait à M. X d’avoir adopté envers Mme Y "une attitude familière, allant jusqu’à l’embrasser sur la bouche à la fin d’une journée de travail."


Absences exceptionnelles : vos droits




Type de congé
Temps plein
Naissance
3 jours pris dans les 15 jours suivants la naissance
Mariage ou PACS  
5 jours payés
Mariage enfant 
1 jour payé
Déménagement du salarié 
1 jour payé / an
Enfant malade de moins de 16 ans 
6 jours d'absence autorisée dont 3 jours payés
Enfant handicapé (80%)
6 jours  payés
Personnes âgées fiscalement à charge
2 jours d'absence non payée
Décès conjoint / enfant / père / mère 
3 jours payés
Décès des grands-parents / frère ou sœur /demi-frère ou sœur/beaux-parents 
1 jour payé

lundi 16 septembre 2013

PSE 2013 : un bilan chiffré

Le PSE 2013 a été très impactant pour l’entreprise, ses équipes Siège, Europe et Terrain.
Plus de 500 personnes ont vu leurs conditions de travail modifiées dont 300 de façon importante et significative.
Les négociations des mesures d’accompagnement ont été longues et difficiles. 
Vu le nombre important de postes supprimés, il était vital d’obtenir des mesures d’accompagnement suffisamment « attrayantes » pour permettre à nombre de collègues de pouvoir partir volontairement dans des conditions correctes
En tout : 111 employés de BMS France siège, terrain et de la division BMS Europe (salariés avec un contrat français)  quittent volontairement l’entreprise.
50 demandes de départs volontaires, dont 20 étaient des VSP, ont été refusées car elles ne permettaient pas de sauver un autre salarié impacté.
A propos du VSP, ce système innovant que les élus UNSa ont proposé et défendu devant la direction a été très apprécié et profite à 44 salariés !
Il y aura en tout 70 notifications de licenciement, dont 20 « secs », c'est-à-dire sans aucune solution.
Grâce aux efforts des équipes UNSa et du CE, notez aussi que 18 postes « Siège » à Rueil-Malmaison ont été sauvés ou rajoutés par rapport au projet initial dans des équipes qui en avaient bien besoin, au vu de leur charge de travail.


Nous n’oublions pas nos collègues touchés par ce plan dans de nombreux autres pays (Italie, Irlande, …), car au total ce sont pratiquement 900 postes qui étaient voués à disparaître des organigrammes.


Déblocage épargne salariale ? Réponse à vos questions !


Épargne salariale : répondre aux questions des salariés sur le déblocage exceptionnel
L’administration a précisé les conditions de déblocage de l’intéressement et de la participation autorisé d’ici le 31 décembre 2013. Voici les principales informations dont l’employeur peut avoir besoin.
Épargne accessible
Sommes accessibles. - Une loi a mis en place un dispositif de déblocage exceptionnel de l’intéressement et de la participation (voir RF Social, Revue d’actualité 132, p. 40). L’administration précise que le supplément d’intéressement et le supplément de participation (c. trav. art. L. 3314-10 et L. 3324‑9) investis dans les mêmes conditions que l’intéressement et la participation sont aussi concernés. L’abondement de l’employeur peut aussi être débloqué (circ. NOR ETST1317391C du 4 juillet 2013, questions/réponses 5 et 9).
En revanche, le déblocage ne peut, notamment, pas porter sur les actions de l’entreprise ou d’entreprises liées souscrites ou acquises à la suite de l’exercice d’options sur titres (« stock-options »), dans le cadre d’un plan d’épargne salariale, et auxquelles s’applique un délai d’indisponibilité spécifique de 5 ans (c. trav. art. L. 3332-5 ; question/réponse 5).
Maximum 20 000 €. - Le salarié peut débloquer 20 000 € maximum, appréciés en considération de la dernière valeur liquidative connue, nets de prélèvements sociaux (question/réponse 10). Ce maximum nous paraît s’entendre toutes entreprises et tous teneurs de compte confondus (ex. : salariés multiemployeurs).
Déblocage soumis à un accord préalable. - La signature préalable d’un accord est exigée lorsque (question/réponse 7) :
- l’accord de participation prévoit l’affectation des sommes à un fonds géré par l’entreprise (compte courant bloqué) ;
- l’accord de participation ou le règlement de plan d’épargne prévoient l’acquisition de titres de l’entreprise ou d’une entreprise qui lui est liée (c. trav. art. L. 3344-1) ou de parts ou d’actions d’organismes de placement collectif en valeurs mobilières d’épargne salariale (fonds communs de placement d’entreprise et SICAV d’actionnariat salarié).
Cet accord doit être conclu selon les modalités prévues pour les accords de participation et déposé auprès de la DIRECCTE.

Conditions de déblocage
L’employeur a dû informer le salarié des modalités de déblocage avant le 29 août 2013 (voir modèle en encadré et dans notre flash Internet du 5 juillet 2013 sur www.rfsocial.com).
Une seule demande. - Le salarié effectue une seule demande auprès, selon le cas, de l’entreprise ou du teneur de compte ou de registre d’épargne salariale, sur papier libre. Cette demande peut également être adressée par voie électronique au teneur de compte ou de registre ayant mis en place une procédure de télétransmission(questions/réponses 11, 12).Si le déblocage d’une partie des sommes est conditionné à la conclusion d’un accord dans l’entreprise, le versement de l’intégralité des sommes demandées par le salarié ne pourra être réalisé qu’après conclusion de cet accord (question/réponse 14).
Frais de déblocage. - Les frais de déblocage de leur épargne sont à la charge du salarié sauf si l’employeur décide de les assumer (question/réponse 18). Cette prise en charge peut être prévue dans l’accord permettant le déblocage exceptionnel de l’épargne salariale.

Déblocage de l’épargne salariale : modèle d’information (1)
Information sur le déblocage exceptionnel de la participation et de l’intéressement
(loi 2013-561 du 28 juin 2013, JO du 29 ; circ. NOR ETST1317391C du 4 juillet 2013) (2)
Calendrier des demandes de déblocage
Du 1er juillet au 31 décembre 2013, chaque bénéficiaire de l’accord de participation ou d’intéressement peut demander le déblocage exceptionnel des sommes investies avant le 1er janvier 2013.
Conformément à la loi, il est exclu de demander le déblocage (3) :
- des sommes investies dans un plan d’épargne pour la retraite collectif (PERCO ou PERCO-I) ;
- des sommes investies dans un fonds solidaire ;
- des actions de l’entreprise ou d’entreprises liées souscrites ou acquises à la suite de l’exercice d’options sur titres (« stock-options »), dans le cadre d’un plan d’épargne salariale, et auxquelles s’applique un délai d’indisponibilité spécifique de 5 ans (c. trav. art. L. 3332-5).
Usage des sommes débloquées : avertissement
Le déblocage doit avoir pour objet de financer l’achat d’un ou de plusieurs biens, en particulier dans le secteur de l’automobile, ou la fourniture d’une ou de plusieurs prestations de services. À défaut, les exonérations sociales et fiscales pourraient être remises en cause.
Rappel : la loi impose à chaque personne intéressée de pouvoir produire auprès de l’administration fiscale les justificatifs attestant de l’usage des sommes débloquées.
Votre demande
Mention générale : Chaque bénéficiaire peut effectuer une seule demande de déblocage. Elle peut porter, au choix du bénéficiaire, sur un montant maximum de 20 000 €, nets de prélèvements sociaux. La demande doit être effectuée auprès de …….... (décrire les modalités).
Mention à ajouter en cas de déblocage subordonné à la conclusion d’un accord préalable dans l’entreprise (4) :
Pour les avoirs ……….., les demandes individuelles de déblocage ne peuvent être satisfaites qu’après la conclusion d’un accord préalable dans l’entreprise selon les modalités prévues par la loi 2013-561 du 28 juin 2013. Cet accord peut prévoir que le versement ou la délivrance de certaines catégories de droits peut être effectué seulement pour une partie des avoirs en cause.
Frais de déblocage
Les frais de déblocage sont à la charge du bénéficiaire. (5)
Régime social et fiscal des sommes débloquées
Les exonérations de cotisations de sécurité sociale et d’impôt sur le revenu dont les salariés ont déjà bénéficié au moment de l’affectation des droits à la réserve spéciale de participation ou de l’intéressement sur un PEE sont maintenus.
La plus-value constatée lors de la délivrance des droits est assujettie aux prélèvements sociaux sur les produits de placement de 15,5 % (à la charge du bénéficiaire du déblocage).
(1) Proposition de modèle élaborée par nos soins, en l’absence de modèle officiel. (2) Titre à adapter selon les dispositifs auxquels les salariés ont accès (participation et/ou intéressement). (3) Mention à adapter selon la situation de l’épargne salariale dans l’entreprise. Cette mention peut être supprimée si ce cas ne peut pas se rencontrer dans l’entreprise. (4) Si les sommes en cause correspondent à de l’intéressement affecté sur un PEE mis en place de manière unilatérale par l’entreprise, un accord n’est pas nécessaire. En revanche, le déblocage est subordonné à une décision unilatérale de l’employeur en ce sens. La rédaction de la mention doit alors être adaptée. (5) Adapter cette mention si l’employeur prend en charge tout ou partie des frais de déblocage.

mercredi 11 septembre 2013

UNSa vous informe : les principales annonces du Gouvernement

À l’issue des différentes rencontres menées avec les partenaires sociaux les 26 et 27 août 2013, le Premier ministre a fait connaître les grandes orientations retenues pour la nouvelle réforme des retraites. Voici les principales mesures envisagées. Il s’agit pour l’heure de simples annonces. Le texte technique du projet de loi de réforme des retraites sera présenté au Conseil des ministres du 18 septembre 2013, pour un examen en première lecture par
l’Assemblée nationale à partir du 7 octobre 2013.

Âge de départ en retraite et durée de cotisations. - La réforme ne devrait pas toucher à l’âge de départ en retraite (62 ans pour les générations nées à partir de 1955).
En revanche, la durée de cotisation nécessaire pour liquider une pension à taux plein sera augmentée d’un trimestre tous les trois ans de 2020 à 2035, date à laquelle elle atteindra 43 ans pour les générations nées en 1973 et suivantes (contre 41,5 années aujourd’hui pour la génération née en 1956). Si l’on s’en tient au dossier de presse, le calendrier serait le suivant :
Allongement de la durée de cotisations requise pour le taux plein
Année de naissance de l'assuré
Durée requise
1958, 1959, 1960
167 trimestres
1961, 1962, 1963
168 trimestres
1964, 1965, 1966
169 trimestres
1967, 1968, 1969
170 trimestres
1970, 1971, 1972
171 trimestres
À partir de 1973
172 trimestres
Cotisations et coût du travail. - La piste de la CSG n’a pas été retenue.
La réforme serait financée par une hausse des cotisations d’assurance vieillesse de sécurité sociale. Ainsi, les parts salariale et patronale des cotisations vieillesse déplafonnées augmenteraient chacune dans des proportions identiques : + 0,15 point en 2014, puis + 0,05 point chacune des années suivantes jusqu’en 2017 (soit à terme une hausse globale de 0,30 point pour le salarié et 0,30 point pour l’employeur).
Parallèlement, un mécanisme d’allégement du coût du travail serait examiné dans le cadre du projet de loi de financement de la sécurité sociale pour 2014. Il porterait sur la cotisation patronale d’allocations familiales, de façon à transférer le financement de la branche famille de la sécurité sociale vers d’autres ressources (à préciser).
Rappelons que la hausse envisagée s'ajoutera à celle déjà programmée : après le relèvement déjà intervenu au 1er novembre 2012, la part patronale et la part salariale des cotisations d'assurance vieillesse plafonnées augmenteront chacune de 0,05 point au 1er janvier 2014, au 1er janvier 2015 puis au 1er janvier 2016 (c. séc. soc. art. D. 242-4, modifié par décret 2012-847 du 2 juillet 2012).
Cotisations vieillesse sécurité sociale
Période
Cotisations vieillesse sur brut total(projet de réforme des retraites)
Cotisations vieillesse dans la limite du plafond (hausse déjà prévue*)
Part salariale
Part patronale
Part salariale
Part patronale
Jusqu'au 31 décembre 2013
0,10 %
1,60 %
6,75 %
8,40 %
Du 1er janvier au 31 décembre 2014
0,25 %
1,75 %
6,80 %
8,45 %
Du 1er janvier au 31 décembre 2015
0,30 %
1,80 %
6,85 %
8,50 %
Du 1er janvier au 31 décembre 2016
0,35 %
1,85 %
6,90 %
8,55 %
À partir de 2017
0,40 %
1,90 %
6,90 %
8,55 %
* c. séc. soc. art. D. 242-4, modifié par décret 2012-847 du 2 juillet 2012.
Assouplissement du dispositif de retraite anticipée « carrières longues ». – Pour la mise en œuvre du dispositif de retraite anticipée « carrières longues », 2 trimestres de chômage et 2 trimestres au titre de la maternité sont pris en compte au titre de la durée réputée cotisée.
À partir du 1er janvier 2014, seraient réputés cotisés :
- tous les trimestres de congé de maternité ;
- deux trimestres de chômage supplémentaire ;
- et deux trimestres d’invalidité.
Compte personnel de prévention de la pénibilité. – Un compte personnel de prévention de la pénibilité serait créé à partir de 2015 pour les salariés du secteur privé.
Il devrait être alimenté par des points calculés à partir du nombre de trimestres d’exposition à certains risques (ceux listés par le code du travail à c. trav. art. D. 4121-5). Chaque trimestre donnerait droit à 1 point (2 points en cas d’exposition à plusieurs facteurs). Le compte devrait être plafonné à 100 points.
Le compte pourrait être utilisé pour :
- suivre des formations permettant une réorientation vers des métiers moins pénibles ;
- financer un passage à temps partiel en fin de carrière ;
- ou bénéficier de trimestres de retraite (10 points = 1 trimestre).
Les 20 premiers points ne pourraient être utilisés que pour le suivi de formations.
On notera que le système serait financé par les entreprises (cotisation minimale pour toutes + cotisation propre au facteur de pénibilité propre à chaque entreprise).
Pour les salariés du privé proches de l’âge de la retraite qui ne pourraient accumuler suffisamment de points sur leur compte individuel, les points acquis seraient doublés et le minimum de 20 points à consacrer à la formation ne s’appliquerait pas.
Date de revalorisation des pensions de vieillesse. - La date de revalorisation des pensions de vieillesse en fonction de l’inflation serait décalée (1er octobre de chaque année au lieu du 1er avril).
Prise en compte de la maternité. – À partir de 2014, les trimestres d’interruption au titre du congé de maternité seraient mieux pris en compte. En pratique, seraient validés autant de trimestres qu’il y aurait de périodes de 90 jours de congé maternité.
Modalité de validation d’un trimestre. – Le nombre de trimestres d’assurance vieillesse validés au titre d’une année est établi en fonction du montant de la rémunération annuelle soumise à cotisations : sont validés autant de trimestres que le salaire annuel représente de fois 200 heures rémunérées au SMIC. Cette règle entraîne notamment les conséquences suivantes :
- les assurés à temps très partiel, à faible durée de travail ou à faible revenu dans l’année sont parfois dans l’impossibilité de valider 4 trimestres ;
- à l’inverse, les salariés percevant une rémunération suffisamment élevée peuvent valider 4 trimestres en quelques mois.
À compter du 1er janvier 2014, les modalités de validation d’un trimestre seraient modifiées comme suit :
- acquisition d’un trimestre avec 150 heures SMIC de cotisations (au lieu de 200) ;
- prises en compte pour le calcul de la durée des seules cotisations portant sur un revenu mensuel inférieur à 1,5 SMIC ;
- report des cotisations non utilisées pour valider un trimestre sur l’année suivante.
Prise en compte de la maternité. – À partir de 2014, les trimestres d’interruption au titre du congé de maternité seraient mieux pris en compte. En pratique, seraient validés autant de trimestres qu’il y aurait de périodes de 90 jours de congé maternité.
Validation des périodes de formation professionnelle et de chômage non indemnisé. - À compter du 1er janvier 2015, toutes les périodes de formation professionnelle seraient assimilées à des périodes d’assurance, dans les mêmes conditions que les périodes de chômage indemnisé (validation d’un trimestre pour chaque période de 50 jours de stage).
Afin d’éviter que l’alternance entre chômage non indemnisé et emploi se traduise par de moindres validations de droits, les périodes de chômage non indemnisées seraient validées continument si l’assuré reste inscrit à Pôle Emploi, même en cas de reprise d’emploi.
Jeunes en alternance. – Une réforme serait engagée en vue de permettre aux apprentis et aux jeunes en alternance de valider autant de trimestres qu’il y en a de travailler, quel que soit leur niveau de rémunération.
Rachat des années d’études. – Un tarif préférentiel de rachat de trimestres d’études serait ouvert aux jeunes entrant dans la vie active, dans les conditions suivantes :
- rachat effectué dans un délai de 5 ou 10 ans suivant la fin des études ;
- quatre trimestres au maximum seraient rachetables à ce tarif.
Une aide forfaitaire serait mise en place au profit des assurés les plus jeunes et aux revenus les plus faibles lors du rachat.
Majorations pour enfant. – Aujourd’hui, la majoration de 10 % des pensions ne concerne que les parents de trois enfants et plus. Elle est exonérée d’impôt sur le revenu. Cette majoration deviendrait imposable, dans les mêmes conditions que le reste de la pension.
En outre, à partir de 2020, la majoration actuelle serait progressivement plafonnée et transformée en majoration forfaitaire par enfant.
Conférence de presse du Premier ministre du 27 août 2013, dossier de presse





jeudi 5 septembre 2013

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